- le risque d’astéroïdes et les réparations qui y sont attenantes, consommant PA et unitek/crédits
- les tempêtes stellaires qui augmentent notre consommation et peuvent éventuellement changer notre position.
- la recharge énergétique secteur-dépendante
- la consommation en PA pour la vente des coordonnées
- le mal de l’espace (vous l’attendiez hein ?

- les dégâts cérébraux (que je mets à part exprès) qui impose consommation de PA et crédits
Après plusieurs mois d’essai, notamment depuis les dernières modifications du mal de l’espace, c’est l’occasion d’en faire le point.
Notez bien que je ne parle pas ici de rentabiliser l’exploration : je suppose que, comme moi, mes collègues explorateurs le font plus pour la beauté du geste que pour la rentabilité, l’argent gagné permettant tout juste de payer les réparations (ou rachat) du vaisseau, les bars et les coûts hospitaliers.
PREMIER POINT
J’attire votre attention sur le coût en PA de ces opérations qui est la vraie contrainte, la distraction au bar et l’hospitalisation étant littéralement hors de prix PA-parlant, et nécessite à mon sens une modification.
SOLUTIONS PROPOSES
- division par deux des coûts en PA pour les bars et l’hospitalisation.
OU
- suppression du concept de « domiciliation », ce qui signifie que chaque base, MAME ou bar suffisent à retirer la totalité du mal de l’hyperfluide
OU
- la distraction au bar supprime la totalité du mal, à savoir fatigue + mal de l’hyperfluide (et non les troubles cérébraux of course)
SECOND POINT
J’aborde maintenant le mal de l’espace à proprement parler : Plusieurs observations :
→ Les occurrences de survenue de la maladie sont trop rapprochées une fois hors réseau : personnellement j’ai un vaisseau qui me permet un potentiel de 25 cases de déplacement, je ne peux pas espérer un aller-retour à partir d’un soleil sans déclencher au minimum trois ou quatre occurrences

SOLUTIONS PROPOSES :
- diminuer la fréquence de survenue du mal hors réseau et la supprimer totalement, comme au début, lors d’un déplacement sous couverture réseau (relié à un système habité bien sûr)
ET/OU
- diminuer l’augmentation systématique de la fatigue de l’espace à chaque survenue (y compris lorsque l’on y résiste).
OU
- supprimer carrément la fatigue de l’espace, chaque jet étant alors d’égale difficulté
→ Autre observation : les désordres cérébraux se déclenchent aussi bien avec un mal de l’espace à 200 que à 600, il est assez agaçant d’avoir ce malus-surprise dés le début de la maladie, ce devrait être la punition ultime du pilote partant tellement loin et longtemps qu’il a ses neurones qui débloquent.
SOLUTION PROPOSE :
- fixer leur apparition dans les derniers stades du mal, par exemple à partir de 600 ou 700 (jamais été plus loin perso), ce qui serait plus logique. (Marre du désordre à cinq secteurs du système solaire)
OU
- supprimer carrément les désordres cérébraux. Quand on y réfléchit bien, le pilote qui s’acharne peut se retrouver avec une surconsommation en PA de 3 à 4 par déplacement, ce qui est déjà suffisamment contraignant pour le pousser à rebrousser chemin^^ Ça a l’avantage de simplifier pas mal les choses.
Voilà pour mon analyse, je ne dirais rien sur la sévérité des consommations en PA du mal qui me semble justifier, les seuls points problématique étant la fréquence et les coûts en PA des soins.
Je résume : Les tempête nous mange des PA (indirectement), les réparations nous mange des PA, l’exploration nous mange des PA, le mal nous mange des PA, l’accostage nous mange des PA, la vente/achat de coordonnées nous mange des PA alors, franchement, on n’a pas besoin d’un bar cher en distraction, d’un hôpital à 24 PA et de ce chopper un mal toute les deux minutes.

N’hésitez pas à venir donner vos points de vue ! Acquiescez, critiquez, chantez ou que sais-je mais venez vous manifester !
